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Brick by boring brick... we're livin'

Vendredi 31 décembre 2010 à 16:31

 Happy New Year.
Be Drunk.
Be Fun.
Be with friends.
Enjoy Life.


At least for a night.

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That's it.

Mardi 30 novembre 2010 à 23:40

Parce que quand la douleur est là, qu'elle s'installe, elle vous brûle à feu doux. Vous ne pouvez pas déserrer les dents, vous ne pouvez plus sourire. La tristesse dépose un voile sur votre visage. Elle fait flancher vos jambes, vous serre le coeur, sèche vos yeux, votre gorge et tord votre ventre. La tristesse c'est un virus qui se répend, qui enfle, toujours plus. Même si la racine du mal est minime, même si ce n'est pas important et que vous pourriez tout faire pour oublier. Vous ne pouvez pas, parce que ça appuie exactement au mauvais endroit. Parce que ce sentiment d'insécurité de nous quitte jamais, la peur de perdre l'autre est toujours là et le manque de confiance en soi n'est jamais revenu. Dehors il fait froid, la neige tombe à gros flocon. C'est joli mais si froid. Comme beaucoup de choses parfois. Les jours les plus difficiles sont en quelque sorte passés, et pourtant on ne voit pas le bout du tunnel. Encore tellement de choses à faire. Et ce temps qu'on ne prend pas, pour appeler les gens qui souffrent, les gens qui ont besoin de nous. Ne pas savoir quoi dire. Manquer de mots. Un comble. Parce que quand la douleur est là, il n'y a plus rien à dire, juste essayer de respirer calmement, et attendre de remonter à la surface.

Cordialement.
Bonne nuit.

Mardi 30 novembre 2010 à 12:16

 I love him.
And sometimes I just forget the rest.

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Try to Focus. Hard.

Mercredi 24 novembre 2010 à 17:33

 Quelqu'un me paye un billet pour les Etats-Unis ?
J'y retournerais bien...

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Non ? Bon tant pis.


Dimanche 21 novembre 2010 à 13:53

 Une douleur dans le cerveau et à l'estomac. On a remit encore ça. Danser sur les tables, parler anglais aux serveurs. Commander un verre. Puis un autre. Puis une tournée. Et puis se laisser porter par la musique, balancer les bras dans le vent, secouer la tête sur des rythmes divers et variés. Rentrer saouls sous la pluie, crier comme des putois, même si on ne sait pas pourquoi. Parce que l'ivresse permet certaines choses. Sauter dans les flaques, tanguer, se tenir fort pour ne pas glisser. Et puis l'angoisse me prend. Cette redescente désagréable. Tout est pris comme une agression. Les gens qui crient autour de moi, la musique, le sommeil me prend. Il faut que je dorme. Impossible. L'alcool se transforme en tristesse inexpliquée. Des centaines de choses me passent par la tête, il me manque, y'a comme un trou dans ma poitrine, ça fait bien trop longtemps. Quelques jours je sais. Le sommeil arrive enfin. La nuit est courte. Le réveil difficile. Il faut revenir sur terre. Prendre le train, travailler, réviser et travailler encore. Demain. On fera ça demain. Bonne journée. Il fait froid.

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